J’ai découvert la littérature japonaise il y a quelques années avec Haruki Murakami, et depuis, je ne cesse de découvrir d’autres auteurs japonais qui m’emmènent dans leurs univers bien particuliers. Ikezawa Natsuki en fait partie.
J’ai été attirée en premier lieu par la photo de couverture, paisible, qui m’a fait ressentir une sensation de bien-être, et par le résumé de quatrième de couverture, poétique et mystérieux, tout en ne révélant rien des histoires qui y sont racontées. J’aime être surprise alors je me suis tout simplement laissée aller.
C’est le premier livre que je lis d’Ikezawa Natsuki, et il m’a beaucoup plu. Une lecture empreinte de douceur, qui incite à prendre le temps, et à suivre son chemin, sans résister.
Je ne vais pas vous dévoiler les nouvelles qui y sont écrites, elles sont courtes, surprenantes d’elles-mêmes et méritent d’être découvertes sans indice aucun.
Ces trois nouvelles nous emmènent en Amazonie, à Okinawa, au Japon, et nous délivrent pour chacune, un message de paix et de sagesse.
C’est avec légèreté et délicatesse que l’on s’abandonne peu à peu, au fil des pages, à ces histoires de toute beauté, qui nous emmènent loin, là où la frontière entre la réalité et le rêve peut être si mince.
Un livre à déguster, et pourquoi pas avec un délicieux thé vert japonais…
Ikezawa Natsuki est un poète, romancier, essayiste, et traducteur japonais.
« La femme qui dort » est son dernier livre paru en 2009 aux éditions Picquier poche.
Précédemment paru : « La sœur qui portait des fleurs », « Des os de corail, des yeux de perle »…
Voyage, rêve, poésie…Il n’en faut pas plus pour me convaincre ! Ce livre à l’air passionnant.
Merci de ton partage.
Avec plaisir ! et j’espère vous faire encore découvrir de jolies lectures au fil des semaines,
A bientôt,
Monia